— Toi ici ! fit le maréchal.
— Je suis arrivé cette nuit, maître, ne voulant pas confier au télégraphe ce que j’avais à te dire.
— C’est donc bien grave ?
— Très grave.
— Suis-moi.
Et le maréchal japonais se dirigea vers son bureau.
— Maître, dit le Chinois quand ils furent seuls, tu n’auras pas les fusils que tu as commandés à Jonathan Wishburn.
Malgré l’extraordinaire empire qu’il avait sur lui-même, le maréchal eut un brusque sursaut.
— Que dis-tu ?
— La vérité : pour toi Sou-Kiang n’aura jamais sur les lèvres que des paroles de vérité.
— Explique-toi.
— Le président Carnegie a été informé de cette livraison et des autres marchés que j’avais passés sur ton ordre.
« De plus, il a dû recevoir des renseignements sur nos armées. Alors, à la Maison Blanche, tous ont pris peur et un décret a été rendu il……
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