Les Épaves de l'Océan (1883)
A l’aube d’un beau jour de printemps, un albatros à l’immense envergure, de l’espèce que certains naturalistes appellent le vautour des mers, planait au large sur les flots de l’Atlantique. Soudain, il arrêta son vol majestueux : quelque chose au-dessous de lui avait attiré son attention.C’était un radeau, dont la surface n’excédait guère celle d’une grande table. Il était formé de trois ou quatre planches, reliées entre elles par des traverses et par-dessus lesquelles avaient été jetés sans art et sans méthode des lambeaux de toile goudronnée ou de voiles arrachées.
Unfold
CONCLUSION.
Ils n’étaient plus des épaves flottantes, le rebut de l’écume des mers !
Les trois hommes furent incorporés dans l’équipage du navire, et la petite passagère trouva dans la cabine du capitaine les soins, les égards et la protection à laquelle ses infortunes et son aimable caractère lui donnaient droit.
Le radeau ne ……
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