Sous le Masque du Désir
READING AGE 12+
Contenu réservé aux adultes (18+)
« Jusqu’où seriez-vous prêt(e) à vous perdre pour quelqu’un ? »
Atlas Martini vivait selon trois principes inébranlables :
– Ne jamais mêler plaisir et affaires.
– Ne jamais accorder de seconde chance.
– Ne jamais laisser les émotions dicter ses actes.
Il n'avait jamais enfreint ces lois... jusqu’à ce qu’elle apparaisse dans l’embrasure de sa porte, pareille à un poison sucré versé dans un flacon de cristal.
Meredith Rossi, avec ses lunettes trop larges et ses grands yeux de biche apeurée, avait l’air fragile, presque irréelle. Un ange désorienté tombé dans l’antre du diable. Elle ne devait être qu’un jouet. Une distraction passagère. Une créature innocente qu’il contaminerait lentement, jusqu’à ce qu’elle ne respire plus sans lui. Et lui, si détaché d’ordinaire, rêvait déjà de s’enivrer de sa naïveté. Comme d’une d****e douce et mortelle, il voulait perdre pied.
Elle lui appartenait désormais. Sa secrétaire. Sa chose. Son obsession délicate.
Mais Meredith n’était pas aussi limpide qu’elle en avait l’air. Elle fuyait un passé lourd, abritant dans son ombre un frère fragile qu’elle s’échinait à protéger. Réservée, sur ses gardes, elle savait que son nouveau patron représentait tout ce qu’elle devait éviter : un homme froid, calculateur, dominateur… et terriblement captivant.
Quand il lui offrit un marché indécent, elle aurait dû refuser. Pourtant, il y avait dans cette offre un goût d’interdit enivrant. Meredith voulait se consumer, effacer ses peurs dans les flammes d’un désir qu’elle n’avait jamais osé affronter.
Atlas, prédateur vêtu de silence et de contrôle, deviendrait son enfer personnel. Son bourreau exquis, son chef, son obsession. Leur lien défiait toutes les règles. Peut-on aimer un être sans conscience ? Faire confiance à celui qui rêve de nous posséder jusqu’à l’oubli ? Peut-on désirer celui qui promet de tout réduire en cendres ?
Unfold
« Qu’est-ce qui te prend, enfin ?! » s’écria Luc, la voix pleine d’indignation.
Je venais tout juste de raccompagner la jeune femme jusqu’à sa chambre. Ces derniers temps, les tâches s’étaient accumulées, et voilà que je devais encore composer avec cet imbécile.
— « Calme-toi un peu, inutile de crier comme ça », grognai-je, passan……
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