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À MARIER
Les quarante-huit heures passèrent, sans qu’il y eût de communications personnelles entre les deux frères.
Julius, résidant dans la maison de son père, envoyait à Geoffrey, à l’hôtel, des bulletins écrits de la santé de lord Holchester.
Le premier bulletin portait :
Cela va bien, les docteurs sont satisfaits.
Le deuxième était plus affirmatif :
Cela va parfaitement, les docteurs sont pleins d’espoir.
Le troisième était le plus explicite de tous :
Je dois voir mon père dans une heure. Les docteurs répondent de sa guérison. Comptez que je lui glisserai quelques bonnes paroles pour vous, si je le puis. Attendez-vous à recevoir de mes nouvelles.
Le visage de Geoffrey se rembrunit à la lecture du troisième bulletin : il demanda de nouveau les odieux objets nécessaires pour écri……
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